Connaitre l’Environnement, par-dessus tout, c’est se connaitre, s’aimer soi-même et ménager la monture de sa survie.
Depuis la disparition physique d’Enerst Haeckel (Allemand), d’Eugen Warming (Danois) ou encore de pierre Dansereau (Canadien), le combat écologique continue sa trajectoire.
De plus en plus, le paradigme de l’écologie devient dominant partout dans le monde et pose avec acuité dans tous les secteurs de la vie. Il est non seulement au cœur de plusieurs recherches et réflexions, mais plus encore, il les alimente. Le livre de nature, qu’offrent ces penseurs « verts » au grand public, se destine à être unique et indivisible, qu’il s’agisse de l’environnement comme de la vie, de la sexualité, du mariage, de la famille, des relations sociales, en un mot, du développement humain intégral.
En fait, les devoirs que nous avons vis-à-vis de l’environnement sont liés aux devoirs que nous avons envers la personne considérée en elle-même et dans sa relation avec les autres. Il n’y a pas d’écologie qui ne soit globale : terre, homme et Dieu, créatures et créateurs sont étroitement liés. Tous les êtres sont nés sur une même terre et une même solidarité les unit.
Considéré comme une question inéluctable dans le débat scientifique actuel, l’écologie se montre un sérieux problème de l’ère. Dans un climat d’aggravation des destructions environnementales qui s’ensuivent des effritements de l’humanité, l’urgence s’impose de réfléchir sur le comportement écologique responsable des uns et des autres. Au vu de la pollution d’air, d’eau, du sol ainsi que l’épuisement des ressources, avec outrecuidance, au Congo, l’écologie devrait être une « loi frumentaire », un domaine dans lequel tous devraient avoir accès facile.
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