Chers internautes,
Il vient de paraître chez les éditions Paulines, le nouveau livre intitulé: Nouvel ordre ou nouvelle guerre mondiale au bout de la prédation. S’affranchir par soi-même et fonder la notion de la politique sur l’autocratie.
Ce livre de 111 pages, écrit par le père Anaclet Bambala Mazina, aborde en amont un risque, celui d’une nouvelle guerre plus meurtrière que les deux guerres qui avaient touché le monde en 1914 et en 1940. Ce risque est bien perceptible dans la saisie de l’idéologie du nouvel ordre mondial, projet qui nourrit le monde occidental dans le domaine de la culture, de la politique internationale, de la gestion et de la production des ressources tant humaines, économiques que naturelles. Les appétits de suprématie, que nourrissent les puissances occidentales toujours et déjà en lutte de positionnement entre elles pour le partage du monde devenu leur gâteau de fête, sont en effet le foyer qui active l’idée de nouvel ordre.
L’auteur écrit ce livre dans le but d’éveiller la conscience des uns et des autres. Mais d’une façon particulière, le livre donne une contribution à la lutte qui vise à arrêter cette destruction de l’homme par l’homme et à faire advenir un nouveau paradigme de coopération entre les peuples : l’autocratie, la force de l’amour.
La première idée-force que véhicule cet ouvrage est que notre monde vit sous la domination affreuse de l’occident qui repose sur une idéologie de prédation. Le vol des connaissances et des ressources, la méconnaissance de l’autre et la duperie, les intérêts égoïstes nommés autrement le capitalisme et tant d’autres maux constituent ses pierres de fondation. De cette manière, son projet dernier né, nouvel ordre mondial, qui tente justement à placer le monde sur ces explosifs cruels, mettra en feu, sans autre forme de procès, notre humanité.
La deuxième idée que relève cet ouvrage est le fait que l’Afrique et beaucoup d’autres peuples sont en proie d’un type d’une colonisation très sournoise, mais super écrasante, celle de l’empire idéologique de l’occident. L’Afrique doit s’arrêter à appeler les puissances occidentales, qui en outre sont de vraies pyromanes, à lui venir en aide pour éteindre l’incendie qui la consume. Elle doit sortir des indépendances reçues qui n’ont été qu’un changement de méthode au profit de la même finalité, pour conquérir par elle-même une des vraies indépendances. Cette indépendance doit passer aussi par la relativisation de la démocratie que l’occident impose comme absolument incontournable pour arriver à une bonne organisation de ses États. Cette dernière se révèle comme un poids imposé et non comme une volonté libre de tous les peuples. Penser ses modèles de bonne gouvernance et de choix de ses dirigeants, par soi-même et conformément à la volonté du bienêtre de tous, aidera l’Afrique à bâtir des États réellement indépendants.
La troisième idée-force est qu’il faut changer de paradigme qui régit les rapports interpersonnels et les relations internationales. Fonder l’agir politique et les relations sociales tout comme internationales non pas sur la suprématie de la force avec son monopole de violence, mais sur l’amour au sens évangélique. Ce que nous avons nommé l’Autocratie, est dans l’optique d’une nouvelle logique des choses, un gouvernement soutenu par l’amour de l’humanité en tous, par la vérité et par le droit.
L’auteur est religieux et prêtre de la Congrégation du Saint Sacrément, de la province Bienheureux Isidore Bakanja en R.D. Congo. Agrégé du degré secondaire et docteur en philosophie.
Il est professeur à l’université du Kwango (Unik) et à l’université Saint Augustin de Kinshasa (USAKIN): membre du Conseil d’administration de l’université Omnia Omnibus de l’Archidiocèse de Kinshasa.
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