Quand Arnold Guillet éditeur et écrivain, a découvert le « Journal » de la servante de Dieu Maria Anna Lindmayr (1657-1726), il a été fascinés par les expériences spirituelles de cette mystique de Munich. Il a ainsi justifié ce travail : « Notre époque, intellectuellement appauvrie et spirituellement refroidie, a vraiment besoin de se nourrir de la richesse spirituelle de cette carmélite méconnue ».
Ce livre présente seulement les chapitres du Journal de Maria Anna Lindmayr. Elle décrit comment, par une permission spéciale de Dieu, elle fut en relation avec les âmes du purgatoire. Cette carmélite, reçut des précisions sur la cause, la nature et la durée de leurs souffrances, sur la laideur du péché, sur la durée de son expiation. Enfin, sur la souffrance d’être loin de ce Dieu, objet de tous leurs désirs.
Dans la présentation de cet ouvrage Arnold Guillet décrit, d’une manière exhaustive, la personnalité de Marie Anne Lindmayr, ainsi que les vicissitudes, l’époque et la spiritualité de son temps. L’écriture de cette mystique possède, en plus de sa profondeur spirituelle, un style incisif, coulant, et très agréable à lire.
Dans la deuxième partie du livre, on y joigne plusieurs textes, entre autre ceux tirés du Catéchisme de l’Eglise Catholique et de St Thomas, ainsi qu’une anthologie de prières sur ces thèmes.
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